Dans le cadre de l’engagement pris par DoorDash d’être continuellement à l’écoute des Dashers à travers le Canada, nous avons mené notre deuxième sondage national annuel auprès des Dashers canadiens dans toutes les provinces canadiennes afin de mieux comprendre ce qu’ils apprécient le plus et ce qui les attire dans le travail indépendant.
Notre enquête révèle que presque tous les Dashers canadiens – 97 % – croient en la protection de leur capacité à choisir quand, où et comment ils travaillent si des lois devaient être modifiées. Et près de la moitié d’entre eux affirment qu’ils cesseraient de travailler si cette flexibilité leur était retirée.
La plupart des Dashers canadiens déclarent avoir un autre travail ou d’autres responsabilités, comme l’école ou la garde d’enfants. C’est pourquoi ils apprécient la flexibilité et l’indépendance uniques que leur procure le fait de dasher. Parmi les principales raisons pour lesquelles les Dashers canadiens choisissent de dasher plutôt que d’autres opportunités, il y a la possibilité de fixer leurs propres horaires, de travailler autant qu’ils le souhaitent, et de pouvoir le faire tout en conservant un autre emploi. Il n’est donc pas surprenant qu’une majorité de Dashers dans toutes les provinces veuillent rester des entrepreneurs indépendants.
« Alors que le coût de la vie continue d’augmenter au Canada, de nombreux Canadiens cherchent des moyens de gagner de l’argent de manière flexible en dehors de leur emploi et de leurs engagements actuels », déclare Dan Arnold, directeur de la stratégie chez Pollara Strategic Insights. « D’année en année, nous constatons que les Dashers canadiens veulent constamment s’assurer que ce type d’opportunité de travail flexible demeure. »
Les Canadiens considèrent également cette activité comme un moyen sûr pour les aider à couvrir les frais de subsistance ou à économiser de l’argent supplémentaire. Les deux tiers des Dashers canadiens affirment que dasher les aide à atteindre leurs objectifs financiers, et 85 % d’entre eux disent qu’ils se sentent toujours ou la plupart du temps en sécurité lorsqu’ils effectuent des livraisons ou des tâches.
« Des centaines de milliers de Canadiens dashent chaque année pour gagner un revenu supplémentaire selon leurs propres conditions », déclare Brian Kaufmann, responsable de la politique canadienne et des relations gouvernementales chez DoorDash. « Les Dashers s’appuient sur ce travail pour atteindre leurs objectifs financiers et veulent que leur indépendance et leur flexibilité soient protégées. Nous nous engageons à faire en sorte que la voix des Dashers continue d’être entendue par les décideurs politiques à travers le Canada. »
Conclusions principales
Les Dashers apprécient la flexibilité
97 % des Dashers canadiens reconnaissent que le fait de pouvoir choisir quand, où et comment ils travaillent devrait être protégé si les lois devaient être modifiées.
53 % des Dashers canadiens cesseraient de travailler s’ils avaient moins la possibilité de choisir les jours ou les heures où ils travaillent.
53 % des Dashers canadiens cesseraient de dasher s’ils ne pouvaient pas travailler avec plus d’une application ouverte à la fois.
47 % des Dashers canadiens ont d’autres applications de livraison ou de covoiturage ouvertes lorsqu’ils dashent.
Dasher permet de gagner un revenu supplémentaire
En plus de dasher, 68 % des Dashers canadiens ont un emploi à temps plein ou à temps partiel, dirigent leur propre entreprise ou travaillent à leur compte.
Seulement 12 % des Dashers canadiens font de la livraison ou du covoiturage leur seule activité professionnelle.
68 % des Dashers canadiens affirment que dasher les aide à atteindre leurs objectifs financiers, comme couvrir les frais de subsistance ou faire des économies supplémentaires.
52 % des Dashers canadiens bénéficient actuellement d’un régime de soins dentaires, de soins de la vue ou de médicaments d’ordonnance, en plus de l’assurance santé du gouvernement.
Dasher aide dans les moments difficiles
77 % des Dashers canadiens déclarent qu’il leur serait difficile de joindre les deux bouts s’ils ne pouvaient pas tirer un revenu du covoiturage ou de la livraison.
39 % des Dashers canadiens adeptes du covoiturage ont dashé pour compenser une perte de revenu ou une réduction des heures de travail dans le cadre d’un autre emploi.
30 % des Dashers canadiens ont dashé pour payer des dépenses imprévues.
Méthodologie : Ces résultats proviennent d’un sondage en ligne réalisé par Pollara Strategic Insights entre le 28 septembre et le 6 octobre auprès de 1 268 Dashers canadiens ayant effectué une livraison au cours des 90 derniers jours. La marge d’erreur pour cet échantillon est de +/- 2,7 %, 19 fois sur 20. Les données finales ont été pondérées en fonction du nombre de Dashers actifs dans chaque province ou territoire.
